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Mon premier paiement en bitcoin sur Payzen

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Depuis début Janvier 2016, la plateforme de paiement en ligne en ligne propose le paiement en Bitcoin en s'appuyant sur le partenaire Bitcoin Paymium (https://paymium.com/)

J'ai voulu tout tester et je vais vous décrire toutes les étapes par lesquelles je suis passé:

S'enregistrer chez Paymium. 

je sais que le KYC (know your client) est une étape obligatoire pour compenser de façon officielle des bitcoins. J'ai donc déroulé tout le processus d'enrôlement en ligne.
Cela m'a pris facilement 4 heures. Entre les documents à scanner (passeport, rib, justificatif de domicile, statuts de l'entreprise à signer sur toutes les pages, Kbis et passeport + justificatif d'identité de tous les actionnaires ayant plus de 25% des parts), l'application qui ne permet pas de corriger les données saisies et les rejets de documents pour motif 06 (sans autre explication), je me suis bien pris la tête.
Sans l'aide de Paymium, je ne passais pas. Mais comme je voulais passer à l'étape 2, j'ai persisté et cela m'a pris 2 jours.

Générer sa clef privée Paymium

Là ce n'est pas limpide dans le site de Paymium et re-appel à leur support.
Mais cela fonctionne très bien quand le menu est ouvert. :-)

Créer son contrat Paymium dans le back-office de Payzen


il suffit de rentrer le numéro de compte client créé par Paymium et de l'associer aux clefs publiques et privées.


Télécharger sur son smartphone un gestionnaire de portefeuille de bitcoins:


J'ai utilisé BlockChain.
Opération simple et rapide où seul un email est nécessaire.

Acheter des bitcoins

Laurent m'a gentiment crédité de 0,00320603 bitcoins.
Pas une fortune mais de quoi tester un paiement:

Payer sur une page de paiement Payzen:


Le logo Bitcoin apparaît parmi les autres moyens de paiement:



Une fois choisi le logo Bitcoin, Paymium envoie à Payzen une adresse bitcoin:


Ensuite il suffit de scanner le QR-code de l'adresse bitcoin avec l'application BlockChain et d'accepter le paiement:



Quelques secondes plus tard, si vous attendez sur la page de paiement Payzen, Payzen reçoit la notification de règlement de Paymium et affiche le résultat:



L'acheteur n'est toutefois pas obligé d'attendre. Les notifications entre Paymium et PayZen fonctionneront même si vous n'attendez pas le résultat sur Payzen.

Le marchand et l'acheteur sont notifiés par mail du paiement finalisé. 




Le marchand retrouve dans son back-office PayZen le paiement Bitcoin:


 Paymium en parallèle notifie par mail le marchand de l'achat:

(dommage que le numéro de commande marchand ne soit pas présent dans ce mail)

Retrouvez plus d'info sur les Bitcoins et PayZen ici



Paiement en n fois: risques à mesurer

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En standard, la plateforme de paiement en ligne PayZen permet de faire du paiement en n fois.
Il faut d'abord comprendre que le paiement en n fois proposé par un marchand en dehors d'un organisme de crédit est toujours un paiement en n fois aux risques du vendeur.

L'API de PayZen vous permet de définir le nombre d'échéances, le montant de la première échéance et des suivantes, la date de la première échéance et bien sûr des échéances suivantes.

Dans ce type de paiement, il est fortement recommandé de s'appuyer sur le 3D-secure pour le paiement initial en vérifiant bien que le transfert de responsabilité est positif.

Que se passe-t-il si les échéances suivantes sont refusées?

Tout d'abord, PayZen vous notifie immédiatement du refus lors de la demande d'autorisation.

Que faire alors?

Contacter son acheteur car il peut avoir résilié sa carte bancaire par erreur ou il peut avoir dépassé son plafond carte.

Vous aurez toujours la possibilité de dupliquer le paiement s'il approvisionne son compte, d'enregistrer un paiement manuel s'il veut payer avec une autre carte, de lui envoyer un ordre de paiement mail pour l'inviter à payer depuis internet.
Et si tout cela échoue, vous serez alors dans un contentieux financier pas toujours facile à résoudre.



Payer sur Internet avec sa carte TicketRestaurant® ou sa carte Ecocheque® d'Edenred

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Edenred propose désormais via la plateforme de paiement en ligne PayZen de payer soit via des Ecocheque®, soit via des Ticket Restaurant®

Ces 2 moyens de paiement sont disponibles en version dématérialisés et utilisables pour payer sur Internet.


Suivant l'activité du marchand, il pourra proposer ces moyens de paiement sur son site Internet:
Ainsi la page de paiement pourra proposer à l'internaute de sélectionner ces nouveaux moyens de paiement. 




Une fois le moyen de paiement sélectionné, il vous est demandé de renseigner vos données carte comme vous le feriez pour un paiement carte.

Les informations numéro de carte (PAN) et CVC (cryptogramme visuel comme pour une carte bancaire) sont demandés à ce stade:




Le PAN se trouve sur votre carte tel que décrit ci-dessous:


Le CVC comme Card Verification Code se trouve sur votre carte tel que décrit ci-dessous:


La plateforme de paiement contrôle en temps réel le solde restant de la carte et valide le paiement si les données sont correctes et le solde suffisant.

Le ticket client reprend le solde restant disponible:

Si l'acheteur a fourni son email au marchand, il reçoit automatiquement un email reprenant toutes les données du paiement.
Il peut aussi sauvegarder son ticket PDF depuis cette page. 



La prochaine étape de l'intégration dans PayZen permettra de payer avec sa carte TicketRestaurant®
ou Ecocheque® et de compléter le paiement, si le solde de la carte n'est pas suffisant, avec un autre moyen de paiement accepté par le marchand pour régler l'intégralité de l'achat.

La plateforme de paiement en ligne PayZen complète sa gamme de moyens de paiement sur Internet grâce à ce partenariat avec Edenred

Qui a dit que l'état ne se modernisait pas ? avec PayZen bien sûr!

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La France compte des centaines de milliers de mairies, collectivités, hôpitaux. Tous ont besoin de simplifier les paiements de leurs usagers. Tous veulent plus de fluidité, de rapidité et de simplicité des procédures.

La DGFIP (Direction générale des finances publiques), il y a déjà quelques années, a lancé le projet TIPI pour offrir aux collectivités une solution unique de plateforme de paiement.
TIPI est devenu l'API de référence pour faire du paiement auprès des éditeurs des collectivités locales.

TIPI s'appuie depuis 2015 sur la plateforme de paiement en ligne PayZen. Choisie lors d'un appel d'offres marché public, PayZen a su répondre à un cahier des charges complexe et riche.

TIPI fête aujourd'hui ses 10 000 collectivités clientes de la plateforme de paiement PayZen.

La plateforme de paiement sur Internet PAYZEN, certifiée PCI-DSS depuis 2009, agréée par le GIE Carte bancaire, est fière d'accompagner la modernisation de l’état sur ce grand projet.

Jsecure : 3Dsecure selon JCB

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Après avoir obtenu en 2011 la certification Verified by Visa et la certification Mastercard Secure Code, en 2014 la certification VbV pour le Brésil, puis en 2015 la certification Safekey d'Amex, la plateforme de paiement en ligne PayZen vient d'obtenir la certification JSecure.

Jsecure est la version 3Dsecure de JCB (Japan Credit Bank).

PayZen a développé en interne son MPI (Merchant Plugin Interface) pour en avoir la maîtrise totale.
Cette maîtrise est un élément clef pour gérer avec agilité aux évolutions des règles sécuritaires des "schemes".

La garante de paiement (liability shift) est effective dès lors que les acquéreurs JCB savent recevoir / traiter les données issues de l'authentification du porteur JCB.

PayZen confirme son engagement dans la sécurisation des paiements en ajoutant l'authentification des porteurs JCB à sa plateforme.

Prochaine étape: intégration de ProtectBuy, authentification des porteurs Diners et Discovers.


La solution mPOS de PayZen obtient la certification du GIE Carte Bancaire

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La plateforme de paiement sur internet PayZen devient une plateforme de paiement de proximité grâce à cette certification.

PayZen devient par la même occasion la première plateforme de paiement française à avoir obtenu la certification du GIE CB pour sa plateforme de paiement en ligne (obligatoire depuis Juillet 2014) et à avoir la certification MPE pour sa solution mPOS.

Payzen offre désormais une vraie plateforme multi-canal à ses marchands.

Un marchand client de PayZen a désormais un seul back-office pour gérer:
  • ses paiements sur internet par carte, 
  • ses paiements par chèques-vacances, 
  • ses paiements par virement (Ideal, Giropay, EPS, ..)
  • ses paiements sur internet par Sepa Direct Debit (avis de prélèvement) 
  • ses paiements de proximité. 
La solution mPOS certifiée est basée sur le terminal SPM20 de Spire Payment.

La solution mPOS peut être utilisée:
  • de façon autonome (application dédiée sur un smartphone sous Android et sous iOS), 
  • en s'appuyant sur le SDK fourni par Lyra Network, éditeur de Payzen
  • intégrée à un site internet consulté sur une tablette ou un smartphone.



Magento 2.0 | PayZen

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Le 24 mars dernier PayZen sortait le premier module de paiement compatible Magento 2.0 en France.
Afin de le diffuser plus largement, notre module de paiement est désormais disponible sur Magento Connect. Ce module de paiement, comme tous ceux développés par PayZen, est entièrement gratuit et supporté par notre équipe interne.

Magento 2.0

Profitez des  dernières nouveautés de la plateforme de paiement en ligne PayZen comme les pages web responsive, les outils de lutte contre la fraude et de nombreux moyens de paiement.

  
 Pour tester notre plateforme, téléchargez le module de paiement sur le store de Magento ou sur notre site payzen.io(dédié aux développeurs), puis demandez un compte de test gratuit PayZen sur notre site.

Quand Paypal publie de nouvelles CGU

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Paypal vient de publier de nouvelles CGU à destination des marchands. Certains articles méritent d'être lus : 

2. Interdiction de décourager l’utilisation de PayPal

Nous modifions l'article 4.4 (Interdiction de décourager l'utilisation de PayPal) afin de préciser les normes que les sociétés doivent adopter sur leurs points de vente à l'égard de l'utilisation de PayPal par leurs clients.  L'article 4.4 se présente désormais comme suit (la formulation nouvelle/modifiée étant soulignée) :

"4.4 Interdiction de décourager l'utilisation de PayPal. Dans les déclarations que vous faites à vos clients ou dans vos communications au public, vous n'êtes pas autorisé à dénigrer PayPal en tant que moyen de paiement. Sur l'ensemble de vos points de vente (sous quelque forme que ce soit) :  vous n'êtes pas autorisé à dissuader ou empêcher vos clients d'utiliser PayPal ; etsi vous permettez à vos clients de payer avec PayPal, vous devez traiter le mode de paiement PayPal au moins à égalité avec les autres modes de paiement proposés.

Sur le point de l'égalité, cela mérite tout de même un commentaire.
Pourquoi traiter à égalité un moyen de paiement qui coûte beaucoup plus cher au marchand?
Un marchand français suivant son volume paye entre 0,23 et 0,8% de commissions à sa banque dans le cadre de son contrat d'acceptation.
Mais en règle générale, on est plutôt à moins de 0,5% de commissions.  Paypal ne descend quasiment jamais en dessous de 2% et les marchands sont plutôt habitués à payer entre 3 et 4% Donc est-ce un moyen de paiement égalitaire par rapport à votre contrat d'acceptation CB? Évidemment non. Donc pourquoi le marchand n'aurait-il pas le droit d'ajouter des frais à ce moyen de paiement ?

Concernant le dénigrement récurrent sur les blogs, ce n'est pas à moi de prendre parti. Si le marchand a accepté le moyen de paiement, il doit effectivement assumer que 3Dsecure n'est pas offert et que ses garanties en cas de fraude sont plus limitées qu'avec 3DS. Mais dans ce cas, plutôt que de dénigrer, il faut le supprimer purement et simplement.

Paypal c'est un peu comme Lactalis qui écrase les petits producteurs de lait. Il a su faire un produit utilisé ou acheté par les consommateurs et il impose sa marque et ses prix aux marchands. Mais si les consommateurs avaient conscience du surcoût pour les marchands, serait-il encore adapté ? La vraie question c'est dans quelle société veut-on vivre?
  • Celle qui impose les prix à ceux qui font la vraie valeur ajoutée? 
  • Celle qui laisse se développer des entreprises américaines basées au Luxembourg ou en Ilrande expertes en optimisation fiscale? 
  • Celle qui est respectueuse des valeurs de notre société et aide à grandir ensemble? A ce titre nos banques sont à montrer en exemple. 

Personnellement j'ai choisi. Je ne paye jamais avec Paypal (et je suis passé d'Apple à Samsung :-)). Il y a d'autres moyens de paiement qui préservent les marges des marchands. C'est une question de responsabilité civile.
Les acheteurs ont le pouvoir de choisir et ils devraient mesurer l'impact de leurs actes. Plus simple de rentrer son email que sa carte? Surement. Moins bien pour le pays? Surement aussi. 
Est ce que les extrêmes existeraient que ce soit de gauche ou de droite si les états récupéraient leurs taxes à la hauteur des contributions dues par les entreprises?
Les excès de l'optimisation fiscale sont sources de division d'une nation. Car l'état providence l'est forcément moins sans ressource. 

LCL arrête son service e-carte bleue, la carte bancaire dématérialisée

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LCL a annoncé officiellement l'arrêt de son service de "e-cartes bleues". Il n'est dorénavant plus possible pour les clients LCL de générer des cartes bancaires dématérialisées à usage unique.
Les transactions générées avec des e-cartes bleues sur des sites e-commerces avant le 31 décembre 2016 restent actives et pourront être traitées normalement jusqu’au 31 mars 2017.
La raison de cet arrêt soudain sans solution alternative pour les clients du LCL serait dûe à une cyberattaque ciblée ayant eu lieu en Juillet dernier. Il faut savoir qu'en cas de fraude avec une e-carte bleue, la banque engage sa responsabilité. D’après le LCL, une nouvelle solution est en cours de développement et devrait rapidement voir le jour.

Comment fonctionne une e-carte bleue?

Le service e-carte bleue, mis en place en 2002 par un grand nombre de banques françaises, permet aux détenteurs d'une carte bancaire CB/ Visa de payer leur achat sur internet en générant une carte à usage unique avec un montant plafonnée et une durée de validité limitée. La e-carte bleue a pour objectif d'améliorer la sécurité des paiements en ligne du point de vue de l'acheteur. Les données étant dynamiques et les numéros de cartes bancaires "réelles" ne transitant pas sur le web, les fraudeurs sont dans l'impossibilité de les réutiliser. 

Et les autres banques?

Pour le moment, aucune autre banque n'a annoncé l'arrêt de ce type de service. En parallèle, le Crédit Mutuel Arkéa a développé sa propre solution "Virtualis" agréée par le GIE Carte Bancaire ainsi que la Banque Postale avec "Talk To Pay" afin de proposer d'autres alternatives sécurisées à leurs clients.

Pour une mobilisation générale en faveur de la monétique à la française

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Ou comment limiter notre dépendance aux réseaux américains  Visa et MasterCard

Alors que, pour se faire entendre, notre ex-Président fustige les normes européennes avec une réglementation sur le concombre qui n'existe plus depuis des années, peut-être ferait-il mieux, ainsi que tous les autres présidentiables, de parler du paiement par Carte Bancaire en Europe.

Souvenez-vous de l’impact de la pomme des Guignols de l’Info lors de l’élection de Jacques Chirac ; comme les Guignols n'existent plus, je propose aux futurs candidats de remplacer la pomme par le bouton jaune du terminal de paiement.
Pourquoi ? Parce que l'utilisation de ce bouton dans les prochains mois pourrait être décisive pour la survie de la monétique à la française.

A l’origine…


Il y a plus de 30 ans, en 1984 pour être exact, les banques françaises ont créé un Groupement d'Intérêt Économique appelé le GIE CB, souvent confondu avec Carte bleue. 

Certes, Carte bleue a bien été un GIE gérant l'interconnexion avec le réseau Visa, avant de lui être vendu, mais en réalité, CB veut dire Cartes Bancaires. C'est tellement évident qu’on ne réalise pas que c'est une marque, une marque si banale par son nom « commun » qu’en dehors des experts, personne ne connaît ni son rôle ni son importance.

Ce GIE CB est un réseau d'acceptation permettant de ne pas reverser des royalties à Visa et à MasterCard lors d'un paiement chez un commerçant ou e-commerçant affilié au réseau. Il a été - et reste - un acteur majeur en France dans le développement des normes, de la standardisation, de la certification des terminaux de paiement et des plateformes de paiement en ligne, et dans la lutte contre la fraude.


Acteur important de la maîtrise des coûts de la monétique française, pour le commerçant comme pour l'acheteur, le réseau d'acceptation CB est un outil important pour ne pas dépendre des Américains Visa et MasterCard. D'autres pays comme l'Inde avec Rupay, la Chine avec la carte CUP, le Brésil avec la carte Elo, la Belgique avec la carte Bancontact, etc. ont bien compris qu'un réseau local d'acceptation était une force pour leur pays.

Pourquoi une telle prise de position ?

Aujourd’hui, une chose est sûre : prenez n'importe quel détenteur de carte dans la rue, et demandez-lui quel type de carte il possède, 999 999 fois sur 1 000 000 il vous dira que c'est une Visa ou une MasterCard, même si c'est une CB.

C’est logique, puisque le logo CB est caché au dos de la carte et qu'il est majoritairement co-brandé avec Visa ou MasterCard. Donc devant, on voit Visa ou MasterCard et derrière, on voit le logo CB, en petit. Même si d’un point de vue marketing, les choses évoluent, cela va prendre un certain temps, de par la durée de vie même des cartes.

Et le temps est précieux…
- Parce que Visa Inc a racheté Visa Europe aux banques Européennes et, ayant déboursé quelques milliards pour cela, Visa Inc veut son « money back », comme Margaret Thatcher en son temps.
- Et parce que depuis juin dernier, pour respecter la concurrence en Europe, l'acheteur et le commerçant peuvent désormais choisir leur marque préférée : CB contre Visa ou CB contre MasterCard.

Quelles implications ?


Lorsque nous allons payer avec une CB, la marque par défaut choisie par le commerçant nous sera proposée (CB ou Visa si la carte CB est co-brandée Visa, CB ou MasterCard si la carte CB est co-brandée MasterCard).

Si l'on choisit ou valide CB, la demande d'autorisation passera par le réseau que les banques françaises ont construit avec un grand professionnalisme depuis plus de 30 ans.
Si l'on choisit ou valide la marque co-brandée (Visa ou MasterCard), la demande d'autorisation passera outre notre réseau national, entrainant le paiement de commissions à des sociétés américaines.

Visa a donc tout intérêt à convaincre les grands marchands pour qu'ils ne proposent plus la marque CB par défaut. Le commerçant peut donc négocier ou "se faire acheter" pour proposer par défaut Visa à la place de CB.

Sur le point de vente, seul le bouton jaune du terminal de paiement nous permet de modifier le choix de la marque et donc du réseau.

En e-commerce, le consommateur peut également choisir son réseau car tous les logos sont affichés de façon distincte sur le site de l’e-commerçant. Malgré cela l'acheteur aura tendance à cliquer sur la marque qu'il connait le mieux, écartant de fait le réseau CB.

Donc oui, Mesdames et Messieurs les consommateurs, vous avez le pouvoir de choisir CB et de préserver ainsi notre monétique à la française. Notre French Tech protège aussi vos données car il faut savoir qu’à chaque fois que Visa ou MasterCard est choisi sur un point d'acceptation du réseau CB, ce sont vos informations personnelles qui partent aux US…

Pour conclure


Je voudrais rappeler que si nous en sommes là, c'est aussi parce que l'Europe a été incapable de construire une carte bancaire Européenne avec un réseau d'acceptation Européen, contrairement aux Chinois ou aux Indiens par exemple. Le projet Monnet est resté dans les cartons et aujourd'hui quand on utilise sa carte dans un autre pays européen, on paye des commissions à Visa ou à MasterCard.

J’invite donc les futurs candidats à la présidentielle à faire de l’utilisation de ce bouton jaune l’un des thèmes de prédilection de la campagne à venir. Je m’adresse aussi à l’ensemble de la classe politique ainsi qu’à tous les citoyens sensibles à l’importance du « made in France » : utilisez la touche jaune du terminal de paiement et choisissez le réseau CB.
CB comme Cartes Bancaires. CB comme C'est Bon pour la France.

Quand Payplug explique que Systempay est une solution archaïque

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Quand on a des moyens réduits, il est facile de critiquer son voisin.

Un client Systempay a reçu récemment ce courriel de Payplug au sujet de la plateforme de paiement :

"Pour être tout à fait franc, votre solution actuelle est archaïque et ne répond pas aux besoins d'un site internet comme le votre. Je pense notamment au fait que la page de paiement est moche ( pas personnalisable ) et très peu responsive sur mobile alors que dans votre secteur 40 % du trafic vient des tablettes et mobiles. De plus, leur système 3DS est dépassé et vous fait perdre plein de vente"

Puisqu'on doit parler franchise, le paragraphe précédent mérite une réponse publique:

1. La sécurité et la norme PCI-DSS :

Systempay est un travail collaboratif entre la société Lyra Network et Natixis Paiement Solutions.
Ce travail a été lancé fin 2008 et a permis de démarrer les premiers clients fin 2009, puis de migrer 100% des clients SIPS1.0 et ensuite tous les clients SPPLUS en 2012. Plus de 10 000 clients ont été migrés.
Il est vrai que la plateforme va avoir bientôt 7 ans mais nous ne pensons pas qu'elle soit déjà comparable aux dinosaures du marché.

Depuis 2009, Lyra Network est PCI-DSS et renouvelle tous les ans sa certification. Son certificat est publié en ligne chaque année sur le site internet: 

Le ROC (report of compliance) est également mis à disposition des banques et acquéreurs qui le demandent.

Dans le même temps Payplug communique qu'il est PCI-DSS mais ne fait pas partie du listing Visa Europe qui se vérifie ici: http://www.visa.com/splisting/searchGrsp.do


A cette question Payplug répond qu'il faut payer pour être dans le listing. En fait il faut surtout payer une société d'audit certifiée qui envoie son rapport à Visa. Sur la base de ce rapport Visa valide l'ajout de la société au listing.

Le fait d'avoir des serveurs dans un environnement dit PCI-DSS ne donne aucune transitivité à l'agrément. Un site d'exploitation PCI-DSS signifie simplement  que si vous passiez l'audit, vous auriez traité la partie concernant la sécurité physique, qui n'est qu'un volet de l'agrément.
Après il est possible que pour des volumes de transaction très faibles, certains prestataires se contentent d'un "Self-assessment". En effet quand le volume de paiement est très faible, un simple déclaratif permet de se considérer PCI-DSS : 

(Self-Assessment Questionnaire (SAQ) A PCI DSS document, which is a validation tool for Merchants, and Service Providers who are not required to do on-site assessments for PCI DSS compliance.)

Cet agrément finalisé et publié par Visa a toutefois un intérêt, car il est obligatoire pour répondre aux appels d'offres et demandé par toutes les entités d'état.

La plateforme archaïque dont parle Payplug est celle de milliers de collectivités locales françaises qui font confiance à une plateforme agréée. C'était dans leur appel d'offres que Lyra a gagné en 2015.
L'agrément pci-dss a du bon, car toute société qui ne présente pas son certificat PCI-DSS à jour est éliminée lors d'un appel d'offres marché public ou sociétés privées qui connaissent l'importance de cet agrément.  



2. L'agrément du GIE CB



Le GIE Carte bancaire a imposé en 2014 un agrément à toutes les plateformes de paiement.
Lyra Network a été le premier à passer cet agrément. 


Cet agrément impose un certaine présentation au niveau de la page de paiement (données réglementaires) et des tickets envoyés aux acheteurs.
Il valide surtout  le bon fonctionnement des autorisations et des remises dans toutes les conditions de paiement 3DS (au moins 36 cas distincts)

Je ne sais pas si la plateforme est archaïque, mais elle respecte les normes.

Elle prépare son agrément CB2A5.5, car il est lui aussi obligatoire. 

3. La mocheté de la page


D'abord il n'y a pas une page mais des pages.
Car Systempay propose au moins 7 types d'intégration pour répondre à tous les besoins des marchands. 

  • Page en redirection personnalisable:  Cette page est full responsive depuis 2 ans. La version précédente n'était pas responsive mais reconnaissait dynamiquement l'équipement pour adapter la page. Cette page respecte les données réglementaires demandées par le GIE. La version responsive possède un haut niveau de personnalisation et propose à l'utilisateur une page performante sur mobile. 
  • Page en redirection silencieuse pour les marchands PCI-DSS qui gèrent la saisie des données carte sur leur site et qui ne souhaitent pas implémenter les WS.
  • WebServices : pour les marchands PCI-DSS
  • Iframe : pour les marchands qui veulent une intégration en Iframe. La page de paiement dans ce cas s'allège de certaines données et images
  • API REST /Embedded payment form : qui permet sans être PCI-DSS d'incruster les champs de saisie des données cartes dans la page du site marchand
  • API REST / pop-in : solution sur laquelle s'appuie Payplug
  • In-apps : La plateforme propose une méthodologie d'intégration avec une library plus simple qu'un SDK


Sur le paiement carte, la page de paiement ne se contente pas de gérer 3 champs, mais elle s'adapte aux contraintes de la carte et de l'acquéreur et ce, de façon transparente pour le marchand ou son intégrateur:
  • la carte Bancontact n'a pas de CVV
  • la carte Edenred n'a pas de date d'expiration
  • les cartes de crédit en Amérique Latine permettent de payer en n fois .Il faut donc pouvoir proposer à l'acheteur de choisir son nombre de mensualités
  • les cartes Visa de crédit en Argentine demandent le nom du porteur et le numéro de DNI
  • les cartes Visa au Pérou demandent le nom du porteur
  • les cartes privatives à Tahiti demandent une authentification du porteur avec un mécanisme non 3DS.
  • l'api de la carte UPOP demande seulement de saisir la carte avant de faire une redirection chez UPOP.
  • ...
Lyra Network a donc des solutions dynamiques en fonction de l'acquéreur et du type de carte.

Lyra Network ne répond pas avec une solution basique, purement CB, qui n'a pas été chercher les agréments obligatoires mais avec une multitude de solutions et dans le respect des agréments. 

4. La gestion des marques de carte:


C'est un sujet chaud et d'actualité. L'acheteur doit pouvoir changer de "brand" sur la page de paiement. C'est à dire que si on lui propose Visa, l'acheteur doit pouvoir changer de Visa à CB (qui ne veut pas dire carte bleue mais carte bancaire) ou MasterCard et inversement.
Le protocole d'autorisation évolue car il faut désormais indiquer dans la demande d'autorisation le choix explicite de l'acheteur. 
Lyra Network finalise cette intégration dans le respect du protocole CB2A 5.5
Tous les acteurs sont invités à le faire et nous invitons donc Payplug à faire de même, car il faut un peu se gratter la tête. De plus il faut aussi passer l'agrément 5.5 du GIE CB car le GIE CB a mis à jour son agrément pour les plateformes de paiement. 

> Vu que Payplug s'appuie encore sur une API Lemon Way, il faudra d'abord que Lemon Way adapte son API, puis qu'Atos adapte l'api qu'utilise Lemon WAY. Comme c'est du SIPS1.0 abandonné par ATOS, cela peut prendre un peu de temps...

Visa collera des amendes à toutes les pages de paiement qui ne permettent pas de changer la "brand" de la carte. Qu'on se le dise, la chasse ouvre bientôt!

5. Les moyens de paiement


Certaines plateformes sous-traitent à l'américain ACI (apparemment la voie coûteuse qu'a choisie Payplug).
Lyra Network a pris le parti de faire soi-même l'intégration des moyens de paiement sur sa plateforme. C'est la seule façon de maitriser et d'avoir un contact direct avec l'acquéreur. Ce qui nous donne à ce jour une intégration entre autres avec:
  • Paypal et Paypal Sandbox
  • SDD
  • SCT
  • Cado carte
  • Ideal
  • Giropay
  • EPS
  • Paybox.at
  • Amex (y compris les spécificités du marché argentin et mexicain)
  • Bancontact
  • JCB
  • Diners Discovery
  • Concardis 
  • Six 
  • Postfinance
  • Oney
  • Illicado
  • e-Chèques vacances
  • Edenred carte déjeuner Belgique
  • CSV cartes cadeaux
  • Wirecard
  • Paylife Autriche
  • Card Process Autriche
  • Hobex Autriche
  • Elavon Europe
  • Sabadell (Espagne)
  • Cetelem (toutes les offres)
  • Cartes Cora
  • Global Payment Brésil
  • Stone Brésil
  • Cielo Brésil avec gestion des cartes de débit / crédit
  • Rede Brésil avec gestion des cartes de débit / crédit
  • Getnet Brésil
  • Firstdata Brésil
  • Itau Brésil
  • Boleto bancario Brésil
  • Transbank Chile avec WebPay Mall, WebPay Normal et WebPay Completa
  • Procesos Mastercard Peru
  • Visanet Peru
  • Prisma Argentine
  • Firstdata Argentine
  • Firstdata Urugay
  • RuPay en Inde
  • Prizm en Inde
  • ATOM en Inde
  • Et bien d'autres ...
et bientôt:
  • DCC et MCP de Fintrax
  • Bonsucesso Brésil
  • BBVA Mexico
  • Banorte Mexico
  • et j'ai du en oublier

 6. Les marques blanches

Lyra Network a conçu une plateforme à destination des banques. Cette plateforme est réellement un levier commercial par sa richesse. Elle a été conçue pour donner une autonomie totale de gestion aux services monétiques des banques. 
Tellement archaïque que la Société Générale, un leader du e-commerce, vient de lancer sa nouvelle offre e-commerce SOGECOMMERCE avec Lyra Network :



Ce qui nous donne une plateforme plébiscitée par :
  • le groupe Banque Populaire + Bred + Banque de Savoie + Banque Chaix + Natixis
  • le groupe Caisse d'Epargne + Crédit Coopératif + CDC + Banque Palatine
  • le Groupe Crédit du Nordet leur représentation en France, la Banque Courtois dans le Sud-Ouest, la BanqueTarneaud dans le Centre-Ouest-Atlantique, la Banque Nugeren Auvergne, la Banque Kolb dans l’Est, la Banque Rhône-Alpes, la Banque Laydernier en Savoie et la Société Marseillaise de Créditdans le Sud-Est qui vendent Payzen depuis Janvier 2017
  • le groupe Société générale avec son offre Sogecommerce qui est la référence en e-commerce en France
  • l'OSB à Tahiti
  • la CSB à Nouméa qui prépare sa migration vers Payzen
  • YesBank en Inde
  • Innocard en Suisse 
  • et d'autres à venir que je ne vais pas dévoiler aujourd'hui
Peut-on encore faire une comparaison et dire que c'est archaïque? 

J'ajoute bien évidemment que cette plateforme sait faire des paiements fractionnés.
Par exemple, je commence à payer avec un chèque vacances ou une carte cadeau et je finis avec une carte de débit ou de crédit. 

6. 3DS

De plus, leur système 3DS est dépassé et vous fait perdre plein de vente"

Passons sur le "S" absent dans la phrase.

Manisfestement par cette phrase on touche un peu le fond de l'incompétence.
Je serais curieux de savoir si "l'ingénieur commercial" qui a écrit cette phrase sait ce que veut dire le "3" et le "D" de 3D-secure. 


3DS est un standard qui date de 2002 imposé par Visa rejoint par MasterCard (MasterCard Secure Code), Amex (Safekey), Diners (ProtectBuy) et d'autres brands privatives (Cofinoga)
Pour faire du 3DS VbV, il faut un MPI agréé par Visa. Pour Mastercard, il faut un mpi agréé  MasterCard Secure Code et pour Amex un MPI agréé Safekey. 

Il a 3 façons d'implémenter 3DS dans une plateforme de paiement:

  • Ce que les experts font : Développer leur propre MPI. Ce qu'a réalisé Lyra Network. Nous avons renouvelé notre certification MasterCard l'année dernière (c'est obligatoire tous les 2 ans) et devrons refaire celle de Visa (VbV) cette année. Nous avons un MPI qui sait gérer aussi les spécificités du marché Brésilien et Indien. Régulièrement des acquéreurs nous demandent de les aider à passer la certification MasterCard, ce que nous avons fait il y a peu de temps pour plusieurs acquéreurs dont Rede Brésil et Bon sucesso Brésil par exemple.

Envoyé : jeudi 19 janvier 2017 15:50
À :'Malick Mxxxxxxx'
Objet : RE: Functional test Configuration || CIS-2016-12593 || 3D Secure code MPI Implementation for La Banque Internationale pour ...........

Dear Malick,

I am extremely astonished to see the results sent by you looks perfectly fine. We had received cent percent test results in the phase of testing in just one drive. Great effort from the Lyra team.

This completes the Functional test phase. I will share the official confirmation asap.


Regards,
Vijaya Txxxxxxx
Implementation Project Manager
Mastercard Technologies 

  • Ce que font certains: Acheter un MPI. Il existe des vendeurs de MPI mais en général l'intégration n'est pas aisée. On a même commencé par ce chemin que nous avons vite abandonné car le produit que je ne citerai pas, n'était pas bon. L'inconvénient majeur d'une solution externe est le nombre important de redirections (minimum 4 au lieu de seulement 2 quand on maîtrise le produit en interne). 2 est le minimum et le plus optimisé.
  • Pour les autres : Acheter du service MPI pour accéder au DS (Directory Server) de Visa, MasterCard. Ce que nous vendons puisque nous sommes experts dans le domaine :-)
Doit-on dire que notre 3DS est dépassé? 
Notre MPI 3D Secure est agréé par Visa, Mastercard et Amex. Par son intégration, il permet de suivre le parcours de l'acheteur et comprendre s'il y a un problème de DS, de communication entre le DS et l'ACS (Affilated Computer Services), de communication entre le MPI et l'ACS, etc..
Il n'y a pas 36 façons de faire du 3DS. C'est normé, donc dire que c'est dépassé revient finalement  à dire que Visa a une norme d'authentification dépassée. Ce n'est pas tout à fait faux, car se prépare un 3DS 2.0, mais cela reste l'unique solution avec garantie de paiement émetteur sur un paiement Carte.

Au sujet de 3DS, nous essayons aussi d'être le plus didactique possible en donnant:

  • le statut de la carte (dans l'exemple ci-dessous: la carte était enrôlée par l'émetteur)
  • le statut de l'authentification du porteur (a été identifié correctement)
  • les informations sur le CAVV
  • l'indicateur de commerce électronique qui sera envoyé dans la demande d'autorisation
  • une information sur la validé de la signature du message renvoyé par l'ACS. Une signature invalide entraîne un rejet
  • l'url du serveur d'authentification du porteur pour mieux identifier les erreurs et surveiller les ACS en défaut
  • l'information importante sur le transfert de responsabilité qui indique si le marchand est protégé ou pas. 
  • une information globale sur le déroulement de l'authentification qui permet de comprendre jusqu'où est allé l'acheteur. 




J'en conclus qu'en fait c'est tellement compliqué pour Payplug de faire du 3DS qu'il faut mieux ne pas en faire.
Mais les marchands ont le droit de réclamer une garantie de paiement et c'est 3DS qui l'apporte.
Si le marchand accepte le risque il peut désactiver sélectivement le 3DS par transaction ou en permanence si sa banque l'accepte. 

Perdre des ventes ou subir la fraude:
C'est un compromis souvent difficile pour un marchand peu armé pour lutter contre la fraude. J'ai cru comprendre que certains avec un moteur basé sur les données de 2000 paiements par jour, savaient mieux faire que Cybersource qui analyse plus d'1 paiement sur 6 de la planète, qui a des connexions en temps réel avec gmail, outlook and co pour contrôler les emails, etc. Un peu de sérieux avant d'annoncer des performances! 

A noter que l'agrément du GIE CB impose pour les CB pures (encore faut-il savoir les reconnaître et savoir ce que veut dire une CB pure) d'interroger les DS de Visa et MasterCard. Pas si simple que cela. :-) 

7. La compétence

Depuis plus d'un an, nous livrons une version par semaine
Notre modèle de livraison continue c'est Amazon (pas au niveau social), mais au niveau de la réactivité.
Livrer toutes les semaines de nouvelles fonctionnalités et des corrections de bugs (nous n'avons pas qu'une page ni qu'un moyen de paiement et nous avons parfois des bugs) c'est une performance. 
Tous les jours nous exécutons des dizaines de milliers de tests de non régression pour livrer avec un risque minimum. Donc oui, nos marchands n'attendent pas des mois les corrections, n'attendent pas une fois par an les évolutions. La livraison continue ce n'est pas archaïque. 

8. La richesse fonctionnelle

On a vu que Payplug propose le moyen de paiement CB. Un moyen de paiement! 
Au-delà des multiples moyens de paiement de notre catalogue, il y a la richesse de nos APIs pour répondre aux besoins des marchands:

Pour cela, Lyra propose du:
  • paiement récurrent carte
  • paiement récurrent avec paiement initial (dépot de caution par exemple)
  • paiement différé
  • paiement récurrent et single SDD
  • paiement par fichier
  • paiement one clic
  • paiement mail soit en masse (WS), soit depuis le back-office avec une bibliothèque de template, soit en générant des liens à la volée à insérer dans les mails marchands
  • paiement par SVI
  • paiement mpos 
  • paiement manuel depuis le Back-office
  • paiement type "je paie en ligne" de la Caisse d'Epargne"
  • et bien sûr des remboursements partiels, des remises partielles, des annulations, des duplications, etc
  • rapprochement bancaire (si option souscrite auprès de sa banque)
  • et de la gestion d'impayés (si option souscrite auprès de sa banque)
  • des IPN avec des alertes en cas d'erreur et des rejeux automatiques
En fait une bibliothèque d'outils répondant aux besoins des marchands petits, moyens et grands. On ne fait pas que du paiement mail ni qu'une page de paiement en pop-in. 

9. Les modules de paiement pour les solutions Open Source

Depuis 2010, Lyra maintient une bibliothèque de modules de paiement gratuits réalisés en interne.
Certains confient à Prestashop le soin de développer un module et payent pour être dans le cœur du CMS. 
Nous c'est l'inverse. Prestashop vient pleurer pour qu'on soit dans leur store. Comme ils ne vendent pas le module, ils vendent l'installation pour tous ceux qui ne veulent pas lire nos documentations d'installation et qui sont dépensiers. 😅
Notre compétence dans les modules est aussi une compétence sur les solutions open source elles-mêmes. Notre support technique sait résoudre à peu près tous les effets de bord de modules tiers. Même quand nous ne sommes pas responsables des bugs lors de la notification du paiement, nous aidons.

Plus de 40 modules sont en ligne. Plutôt bien faits car on sait que nos concurrents s'en inspirent pour construire leur propre bibliothèque. 

A ces modules, il faut ajouter notre intégration dans des solutions comme Oxatis, PowerBoutique, Ugal, Shopify, Wizishop, King-eshop, etc..
Plusieurs centaines de solutions en mode SaaS. 

10. Documentation

Une plateforme de paiement, ce n'est pas qu'une page de paiement avec 3 champs!
Ce sont des APIs, des moyens de paiements, des modules, un Back Office marchand, un Back Office acquéreur, des exemples de codes, un support technique performant et disponible, une gestion des forums et aussi une documentation en ligne.

La nôtre est gérée par un CMS DITA. Désolé ce nom doit déjà faire mal aux oreilles du dénigreur.
Et oui, pour gérer des documentations en marque blanche qui n'ont pas les mêmes contenus, il faut savoir gérer des documentations personnalisées, en 4 langues pour les documentations techniques et en 14 langues pour les pages de paiement.
Cela demande de l'investissement logiciel et des ressources humaines pour piloter tout cela.

Une plateforme de paiement c'est tout cela. des briques et encore des briques.
Elle ne s'est pas construite en jour et elle a nécessité un investissement de plusieurs dizaines de millions d'euros. 
Pendant que certains affichent moins de 1M€ de CA (vraisembablement moins de 500K€ de CA annuel en 2016), Lyra dépense plusieurs millions d'euros par an pour développer sa plateforme internationale.

Nous savons que le chemin est encore long pour être un grand acteur international. Nous sommes juste 150 fois plus grands que le dénigreur et encore 10 à 50 fois plus petits que les grands acteurs auxquels nous nous comparons et vers lequels nous regardons.

Donc au lieu de dénigrer, regardez vers le haut et mesurez le chemin qu'il vous reste à faire. 

Nous sommes 100% indépendants, nous n'avons jamais demandé à l'Europe de financer nos projets et nous n'avons pas fait d'augmentation de capital. Nous avons créé plus de 250 emplois et nous n'avons jamais vendu l'entreprise. Nous nous développons sur nos fonds propres et n'avons pas de dettes.
Nous sommes un des 2 derniers indépendants en Europe et nous en sommes fiers. 


Le paiement en devises sans conversion | Acte 1/4

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Il est fréquent que dans les appels d'offre on trouve dans les prérequis que la plateforme de paiement doit gérer le multi-devises .
En fait c'est une question qui montre une certaine ignorance des contrats d'acceptation. Car ce prérequis ne concerne pas directement la plateforme de paiement, mais l'acquéreur. C'est à l'acquéreur de gérer les contrats en devise. La plateforme de paiement ne sert qu'à paramétrer les devises supportées par le contrat d'acceptation.

Lyra, via sa plateforme PayZen, répond donc lors des appels d'offre que les devises sont gérées en fonction du contrat d'acceptation du marchand. Ni plus, ni moins.

Ce qui veut dire que si le marchand a un catalogue de prix par exemple dans la devise USD, la plateforme PayZen recherchera le contrat d'acceptation (MID) qui gère cette devise et enverra une demande d'autorisation à l'acquéreur de ce MID. Cet acquéreur lui émettra une demande d'autorisation dans la devise demandée vers l'émetteur de la carte.
La transaction une fois capturée sera présentée sur le compte du porteur dans la devise du paiement. Si l'acheteur a un compte dans cette devise, il ne devrait pas souffrir de frais de change, sinon il verra un paiement en USD converti dans la devise de tenue de son compte.

Comment se déclare un tel contrat dans PayZen:

Simplement. Il suffit d'associer toutes les devises que l'acquéreur a déclaré pour ce contrat.


Quel est la situation en France ?

Déjà il faut comprendre que les acquéreurs doivent faire l'acquisition de licences Visa MasterCard pour processer en devises autre que l'Euro et aussi en dehors de la France.
La plupart des acquéreurs européens processent en multi-devises (Wirecard, Concardis, Six, Omnipay, Elavon, Evo, etc..)
En France, cette offre n'est disponible que pour certaines devises chez BNPP et au CIC via son entité CIC Luxembourg. CIC a une couverture plus large que BNPP en terme de devises et de pays.

Les autres acquéreurs français à ce jour n'ont étonnamment pas d'offres et pas de réelles ambitions cross border non plus.

Pourquoi proposer des paiements en devises ? 

En général le paiement en devise permet d'offrir un catalogue de prix intelligible par l'acheteur qui ne paye pas toujours en Euros lorsqu'on vise une clientèle internationale. On peut penser que tous les candidats à la présidentielle qui veulent sortir de l'Europe ne mesurent pas les conséquences sur le e-commerce. Cette devise unique donne un référenciel de prix commun à plus de 300 millions de consommateurs.

Pourquoi recevoir des paiements en devises ? 

Cela permet aux marchands qui achètent des produits en devises, de gérer des comptes en devises et de payer leur fourniture dans la même devise. Ce qui évite les frais de change.
Par exemple : Une entreprise qui vend en Angleterre et qui achète des prestations en livres sterling ou qui a des salariés en Angleterre utilisera son compte en livres pour ses règlements.

Bien évidemment ce système est plus complexe car liée aux risques sur les taux et à la gestion des liquidités dans chaque devise.

Contrat multi-devises ou multiples contrats par devise: 

Cela dépend vraiment de l'acquéreur;
En Amérique latine, les acquéreurs proposent suivant l'activité du marchand des contrats en devises locales et en USD. Ils sont en général distincts.
Les contrats en devise sont attribués le plus souvent aux activités touristiques : hôtels, sites touristiques, compagnies aériennes, certains restaurants, qui peuvent vendre avec une exemption de TVA pour ce type de secteur d'activité.

En résumé:

  • Un MID multi-devises est toujours du ressort de l'acquéreur. La plateforme de paiement ne fait que déclarer les devises supportées par le contrat.
  • Un MID multi-devises présuppose une comptabilité en devise chez le marchand.


Acte 2 bientôt disponible !

Le paiement en devises avec conversion | Acte 2/4

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Certains marchands souhaitent présenter des catalogues de prix en différentes devises mais ne veulent pas forcément gérer une comptabilité multi-devises.

Dans cet article, nous allons vous expliquer comment cela est il possible, son fonctionnement, les avantages et les inconvénients :

Le marchand ne possède pas de contrat d'acceptation dans la devise non euro de son catalogue.

Tous les jours, la BCE publie en début d'après-midi une mise à jour des cours des devises convertibles.

La BCE permet de façon simple avec quelques lignes de code d'accéder gratuitement à cette base de cours.

Exemple du flux de sortie pour quelques devises du panel BCE:

Output of the code above

1€=1.0630 USD
1€=116.01 JPY
1€=1.9558 BGN
1€=26.704 CZK
1€=7.4376 DKK
1€=0.84763 GBP
1€=312.55 HUF
1€=4.2450 PLN
1€=4.5189 RON
1€=9.5820 SEK
1€=1.0686 CHF
1€=9.1033 NOK
1€=7.4255 HRK
1€=59.9350 RUB
1€=3.8991 TRY
1€=1.4027 AUD


Pour toute ou partie de la liste des devises convertibles BCE (chaque banque décide de sa sous-liste), lorsque la plateforme PayZen reçoit le montant dans la devise non euro, elle fait une conversion en €.

Dans ce cas la page de paiement de paiement informe l'acheteur du cours indicatif en Euro de la transaction.



Il faut bien comprendre que la demande d'autorisation sera envoyée en Euros à l'émetteur du porteur, car le contrat d'acceptation du marchand est exclusivement en Euros. 
La remise se fera également et exclusivement en Euros.

En conséquence, pour l'acheteur, ce n'est jamais un paiement dans une autre devise que l'Euro. Il sera débité en Euro avec des frais de change appliqués par sa banque et sans maîtriser le taux de change.
Il faut également noter que la remise en banque ne se fait pas forcément le jour de l'autorisation et le cours peut donc varier entre la date d'autorisation et la date de remise. C'est pourquoi la valeur de conversion affiché lors du paiement est donnée à titre indicatif. 

Comment le marchand est notifié:


Dans l'URL de notification instantanée, PayZen renvoie au marchand le montant en Euro qui a été calculé par rapport au taux de change au moment du déclenchement de l'autorisation et le taux de change qui a été utilisé.
Le marchand avec ces valeurs peut mettre à jour son système d'information et connait le montant de sa remise en banque. 

En résumé:


Le paiement avec conversion permet de ne pas gérer de comptabilité en devises, mais offre au final à l'acheteur un paiement en Euro et pas un paiement nativement dans la devise que le site affiche. 

Acte 3 bientôt disponible !

Le paiement en devises avec du DCC | Acte 3/4

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DCC comme Dynamic Currency Conversion.

Sans doute vous a-t-on déjà proposé de payer dans votre devise à l'étranger sur un terminal de paiement. Mais c'est moins fréquent sur internet.

Quel est le principe ?


Votre site e-commerce présente tous les prix en Euros mais vous souhaitez proposer à l'acheteur qui a une carte de débit ou de crédit de payer dans sa propre devise. Cela facilite la conversion car l'acheteur n'est pas toujours familier ou capable de convertir le montant dans sa devise. Ce système est très réglementé et l'acheteur est informé à la fois du montant qu'il va payer (et il ne payera rien d'autre) et du montant des commissions associées au taux de change et au service DCC qui vont s'appliquer. Il n'y a aucune surprise pour lui. S'il accepte de payer dans sa devise, il sera débité dans sa devise du montant qui lui est présenté.

Des prestataires comme Fintrax ou Fexco offrent ce type de services sur Internet.

Comment cela fonctionne ?


D'abord il faut que vous souscriviez à un contrat auprès d'un prestataire licencié par Visa et Mastercard. Ce contrat définit les conditions d'accès au service (pays et devises supportés) et aussi vos conditions de rémunération. Une partie de la commission générée par le service vous revient. il faut toutefois préciser que ce service n'est pas forcément plus cher que le service de taux de change de votre banque. Ces prestataires optimisent réellement tous les coûts.

Une fois votre contrat signé, la plateforme de paiement fait ce qu'on appelle une demande d'éligibilité au moment de la saisie des données cartes par l'acheteur. PayZen interroge le prestataire DCC pour savoir si cette carte est éligible et pour quelle devise (il peut y avoir plusieurs devises sur une même carte).

Si la carte de paiement est éligible, le prestataire DCC renvoie la devise de règlement, le montant converti, le cours de conversion, le montant des commissions, la date du cours et les mentions légales à présenter à l'acheteur.

La plateforme PayZen  propose alors à l'acheteur de choisir de payer dans la devise du site ou dans la devise de sa carte de paiement.
Il a bien sûr le choix et n'est pas forcé d'accepter de payer dans sa propre devise.



S'il accepte de payer dans la devise de sa carte de paiement, le montant qu'il verra sur son extrait de compte sera exactement le montant de la devise choisie. S'il refuse, le paiement continue dans la devise initiale du site (euros dans le cas de l'image) et il se verra appliquer des taux de change par l'émetteur de sa carte qu'il ne maîtrise pas totalement au moment de l'achat.

Le marchand, suivant les accords qu'il a avec le prestataire DCC, peut avoir une comptabilité en devise ou être payé directement en Euros.

Les remboursements se font dans la devise du paiement. Il est donc toujours possible de rembourser le montant exact dans la devise de l'acheteur.

Le ticket envoyé à l'acheteur doit respecter les règles définies par MasterCard et Visa.


Attention: Si vous appliquez la redirection automatique à la fin du paiement sans laisser la plateforme de paiement afficher le ticket, vous devez légalement afficher le ticket sur votre site en respectant les règles définies par Visa et Mastercard.



En résumé:



  • Ce service permet à l'acheteur de sécuriser son achat dans la devise de sa carte de paiement.
  • Il est transparent en terme d'implémentation pour le marchand car c'est la plateforme de paiement qui gère à la fois la demande d'éligibilité, la page de choix des devises et le ticket.
  • Vous devez simplement analyser les données de retour de la plateforme de paiement pour détecter la devise de règlement, le nouveau montant et le taux de change.




Disponibilité: Octobre 2017 avec PayZen.

Acte 4 bientôt disponible !

Le paiement en devises avec du MCP | Acte 4/4

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MCP comme Multi Currency Pricing.

Que signifie ce terme?

Tous les marchands ne veulent pas forcément gérer des contrats d'acceptation en devise comme nous l'avons décrit dans l'acte 1. Mais ils veulent présenter leur catalogue de prix dans différentes devises.

L'acheteur lorsqu'il arrive sur le site est invité à changer de devise et du coup tout le catalogue du site change de prix et de devises.

Le MCP est une réponse intéressante pour traiter ce sujet.

Comment fait le marchand?

D'abord il peut s'appuyer sur le prestataire de MCP (Fintrax ou Fexco par exemple) pour actualiser dynamiquement son catalogue de prix
En effet, ces prestataires offrent une API pour récupérer le taux de change dynamiquement.
Bien sûr son site doit être adapté au traitement de la présentation du catalogue en différentes devises. Le prestataire de paiement n'est pas concerné par ce processus de mise à jour.

Comment cela fonctionne-t-il?

Pour l'acheteur c'est totalement transparent. Il voit des prix en dollars US par exemple. Il paye en dollars US. Bien évidemment s'il paye avec une carte dont la devise associée n'est pas le dollar US, il aura des frais de change, car l'autorisation et la remise se feront en dollars US.

Il faut donc comprendre que le MCP vise des acheteurs qui veulent voir les prix dans la devise de leur carte et qui verront un débit sur leur compte dans le devise du site. Et normalement sans frais de change si la devise de la carte est le devise du paiement.

La page de paiement va donc présenter un paiement en USD, l'acheteur va s'authentifier auprès de sa banque si le paiement est 3Dsecure, le debit sera en USD, mais le marchand sera payé dans la devise euros (ou une autre devise suivant l'accord qu'il a avec la société de DCC/MCP)

A chaque paiement la plateforme convertit le montant dans la devise étrangère en euros et le marchand connaitra le montant de euros qui sera crédité sur son compte.
L'acheteur ignore totalement les mécanismes comptables associés à ce traitement.
Le marchand supporte les coûts que lui répercute le prestataire MCP, mais n'a pas à géré une comptabilité dans plusieurs devises.


En résumé:

Le site marchand doit gérer les prix dans plusieurs devises et peut actualiser via les API du prestataire MCP en temps réel ses prix de vente
L'acheteur paye dans la devise qu'il a choisi
La plateforme de paiement convertit en EUR le montant initial et communique au marchand le montant réel de la transaction qui sera crédité à son compte.


Pour en savoir plus:

https://fexco.com/merchant-services/solutions/multi-currency-pricing/

http://www.fintrax.com/classes/



NEW: Le paiement par URL

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PayZen offre de multiples facilités d'interface de paiement. Au-delà des APIs pour faire du paiement depuis un site e-commerce, les marchands apprécient de faire du paiement manuel, de s'appuyer sur un serveur vocal, de faire du paiement mail (envoi d'un mail à l'acheteur avec un lien de paiement), de faire du paiement SMS (envoi d'un SMS avec un lien de paiement).

Pour compléter sa bibliothèque, PayZen a ajouté le paiement par URL.

C'est quoi?


Simplement une IHM pour générer en 5 secondes un lien de paiement que le marchand peut coller directement dans son email, dans whatapps, dans tout autre canal de communication pour permettre à son acheteur de payer en toute sécurité.

Une interface simple où il suffit de renseigner le montant:




Une fois le montant renseigné, il suffit de créer l'url de paiement via le bouton valider.

Ensuite en un clic, vous copiez l'url dans le presse-papier
Votre url est alors disponible pour insertion dans un mail ou dans une messagerie instantanée.




Payzen et les ordres de paiement mail par Web Services

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La plateforme de paiement Payzen propose depuis son back-office de générer des ordres de paiement par mail (jusqu'à 50 par ordre), des paiements par url et  des ordres de paiement par SMS.

Depuis peu, il est possible de générer des ordres de paiement par URL et d'insérer le lien de paiement dans son propre mail. Dans ce cas ce n'est pas la plateforme de paiement qui envoie le mail mais bien le marchand.
Il peut ainsi à sa guise ajouter des pièces jointes, insérer des images et gérer le FROM de son email, ce qui est impossible depuis une plateforme de paiement. (voir notre post précèdent)

Ce traitement reste unitaire et manuel.
Cette méthode de paiement est adaptée au petit volume mais plus complexe pour générer des centaines de mail.

PayZen propose depuis longtemps une API SOAP peu connue (oui je sais il n'y a pas encore d'API REST sur ce sujet) pour générer en masse les ordres de paiement mail.


Cette API travaille selon 2 axes:

  • Soit vous demandez à récupérer le lien de paiement et informez explicitement PayZen de ne pas l'envoyer dans un mail. Dans ce cas vous avez le contrôle de l'envoi, de l'ajout des pièces jointes et de la personnalisation
  • Soit vous demandez à créer le lien et sollicitez PayZen pour envoyer le mail avec le texte que vous avez transmis. 

N'oubliez pas que comme pour un paiement web classique, les règlement via un ordre de paiement mail appellent l'url de notification.
Si vous avez renseigné le numéro de commande dans l'ordre, vous pourrez par ce dernier synchroniser votre système d'information avec tous les paiements que PayZen enregistre. 

Amérique latine: comprendre la capture immédiate et différée

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En Europe, on a l'habitude de parler d'autorisation, de pré-autorisation et de télécollecte.
Et lorsqu'on parle de télécollecte, cela signifie qu'une plateforme de paiement a le contrôle total de la fermeture d'un lot à télécollecter.

En Amérique latine, il faut tout ré-apprendre.
Pourquoi?
Parce que les acquéreurs mettent à disposition des APIs, le plus souvent pauvres pour ne pas dire très pauvres qui limitent les fonctionnalités d'une plateforme de paiement.


En Europe, une pré-autorisation est une demande de renseignement. Cela veut dire qu'on ne va pas faire une autorisation du montant total, mais qu'on va demander à l'émetteur de contrôler les données carte (numéro de la carte, date d'expiration et CVV). Ensuite on fera une autorisation du montant total sans CVV en utilisant les règles de paiement récurrent.

En Amérique latine, une pré-autorisation est une autorisation du montant total pour laquelle on ne demande pas une capture immédiate. On devra plus tard et toujours avant l'expiration de l'autorisation demander la capture de ce paiement. On a donc le risque de ne pas arriver à capturer la transaction. Ce qui est impossible en France par exemple car on envoie un fichier de remise à l'acquéreur pour compensation.


Capture immédiate versus Capture différée:


Capture immédiate

Quand on parle de capture immédiate avec un acquéreur sud-américain, cela veut dire qu'on fait une autorisation et qu'on ne se préoccupe pas de sa capture. C'est l'acquéreur qui s'en occupe.
Cela a surement été fait pour que les marchands n'implémentent pas un batch de capture.

Inconvénients: 

  • Difficile de faire une révision des paiements en cas de contrôle de fraude. Pas assez de temps pour le faire.
  • On ne sait jamais précisément quand la fermeture du lot a lieu. 
  • Tant que l'acquéreur n'a pas fermé le lot, ce qui veut dire tant qu'il n'a pas créé le fichier de compensation, on peut annuler, le  jour même, un paiement à capture immédiate.
  • On peut aussi chez certains, rembourser un paiement d'un lot non fermé plutôt que de l'annuler. Ce qui est un peu étrange car dans ce cas il y a des frais pour les 2 acteurs: marchand et acheteur. Donc il faut toujours tenter une annulation d'un paiement capturé avant de le rembourser si on est à J.
  • Une fois que le lot est fermé seul le remboursement est possible, mais suivant les acquéreurs il faut attendre jusqu'à 72 heures avant de rembourser. Entre la fermeture du lot et les 72 heures, le paiement n'existe plus pour certains. Les tentatives de remboursement renvoient 'Transaction not found". Il ne faut pas paniquer. Il faut attendre. 

Capture différée

Quand on parle de capture différée, ce n'est jamais un différé au-delà de la date de fin de validité de l'autorisation.
Cela veut dire qu'on a fait une pré-autorisation du montant total et qu'on lance un batch de capture.
Ce batch de capture permet de confirmer chez l'acquéreur la pré-autorisation.

Tant que le lot n'est pas fermé chez l'acquéreur même en cas de capture différée, on peut annuler un paiement ou le rembourser. Comme pour une capture immédiate.

Quelles conséquences dans PayZen:

  • les paiements à capture immédiate sont visibles dans le folder "paiements capturés"
  • les annulations sont possibles sur les paiements à capture immédiate et à capture différée tant que le lot n'est pas fermé. 
  • les paiements différés au delà de la date de validité de l'autorisation sont rarement possibles car les APIs mises à disposition sont rarement des APIs sans CVV (donc sans paiement récurrent)


Suivant les acquéreurs, les APIs ou les contrats d'acceptation sont:

  • à capture immédiate et différée, 
  • uniquement à capture immédiate, 
  • uniquement à capture différée

PayZen propose de définir au niveau du contrat d'acceptation (MID) le type de capture par défaut et le marchand peut ensuite quand c'est possible surcharger le type de capture lors de l'appel à PayZen. Mais ce n'est pas possible avec tous les acquéreurs.

Là où cela se complique c'est que suivant les acquéreurs, certains types de carte sont toujours à capture immédiate, même si le MID est à capture différée. Ainsi les cartes Maestro et Electron dans certains pays sont traitées comme des cartes à capture immédiate et vous ne pouvez pas demander la capture, même si le contrat est en capture différée.
C'est d'autant plus étonnant que ces cartes ont des durées d'autorisation assez longues et ne justifient pas une capture immédiate de la part du PSP.



PAYS                                                               
 TYPE DE CONTRATS



Firstdata Argentine 
    capture immédiate et différée sur le même MID
Prisma Argentine
    capture immédiate et différée sur le même MID
Procesos Perou 
    capture immédiate et différée sur le même MID
Visanet Perou
    capture immédiate ou différée par MID
Transbank Chili API Completa  
    capture immédiate uniquement
Transbank API WebPay Mall
    capture immédiate ou différée par MID
Transbank API WebPay Normal
    capture immédiate uniquement
Transbank API WebPay Normal debito
    capture immédiate uniquement

Conclusion

Personnellement, je ne suis pas fan des solutions qui n'offrent que la capture immédiate.
Elles sont décriés par les marchands.
Mais nous ne sommes pas au paradis des APIs de paiement modernes. Donc nous n'avons pas d'autres choix que de nous adapter. Surtout quand l'acquéreur a un monopole et est persuadé qu'il a inventé la lune.

Comme dirait un sous-gérant (qui devrait rester sous-gérant toute sa vie) d'un acquéreur que je ne citerai pas, nous sommes différents, donc c'est comme ça et pas autrement.



3DSecure 1.0: Pourquoi le 3 et pourquoi le D?

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Le 14 juin 2017, le support PayZen a été mis à rude épreuve par une panne gigantesque et inacceptable dans la chaîne d'authentification des porteurs.

Pour l'expliquer proprement, il est important de rappeler comment le 3Dsecure fonctionne.


Que signifie 3D?

  • le chiffre 3 est en rapport avec le système d'authentification à 3 acteurs. 
  • la lettre D car ces acteurs correspondent à un domaine. 

Quels sont ces domaines?

  • le DS abréviation de Directory Server qui est contrôlé par la marque : Visa, Mastercard, AMEX, JCB, etc..
  • l'ACS qui est le serveur d'authentification de l'émetteur de la carte
  • le MPI (merchant plug-in interface) qui est géré par la plateforme de paiement ou par le marchand lui-même s'il a décidé d'avoir une intégration propriétaire et agréée. 
Tous les 3 dialoguent entre eux pour authentifier un porteur.

Comment cela fonctionne?

Tout commence par la saisie de la carte du porteur en général via une plateforme de paiement. (PayZen en ce qui nous concerne).

Une fois la carte saisie, PayZen vérifie que le commerçant est un commerçant qui a adhéré à 3DS. Adhérer à 3DS cela veut dire être enrôlé dans le référentiel du DS. 
Le Mpi, ensuite pour tous les bins acquéreurs de ses marchands, doit avoir l'autorisation d'interroger le DS. C'est une procédure parfois lourde que les acquéreurs maîtrisent mal et qui demandent parfois des mois de patience avant que les formalités (une page!!) soient signées. Cela fait un an que j'essaye de faire signer Visa Perou. Mais l'encre est rare au Pérou. Et on a  mis 6 ans pour signer HSBC France. Nous n'étions pas agréés selon eux. Quand on veut protéger son prestataire, on dit que le voisin a la rage.

Pour appeler le DS, le MPI envoie une requète qui s'appelle un VEreq. Cette requète contient peu d'éléments: 
  • un id
  • la référence du marchand, 
  • le numéro de la carte. 
  • le bin acquéreur
  • le user agent
  • la version de 3DS
  • le mot de passe d'accès au DS
  • la version de 3DS

<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="yes"?><ThreeDSecure><Message id="_5txyxthiykdxxxxxxA3dnpy"><VEReq><version>1.0.2</version><pan>4758xxxXXXXXX1045</pan><Merchant><acqBIN>4xxx00</acqBIN><merID>3zzzzz50</merID><password>xxxxxx</password></Merchant><Browser><userAgent>Mozilla/5.0 (Windows NT 5.1; rv:36.0) Gecko/20100101 Firefox/36.0</userAgent></Browser></VEReq></Message></ThreeDSecure>

Que fait le DS avec cette requête? 

Le DS possède une table des bins (6 premiers chiffres de la carte) et cette table des bins lui donne l'adresse de l'ACS capable de traiter la requête. Cette table contient l'adresse de l'ACS primaire et l'adresse secondaire. sauf quand le deux sont identiques, le backup ne sert à rien. 
Le DS va donc envoyer, à partir des données du VeReq une requête à l'ACS pour lui demander si la carte est enrôlée.
Si la carte est enrôlée, en réponse de l'ACS, le DS répondra au MPI un VEres avec l'adresse du serveur d'authentification. 

Contrairement à ce qu'écrit Pierre Col dans cet article, ce n'est pas une défaillance dans les requêtes d'autorisation qui a créé le problème mais bien une défaillance dans les requetes d'authentification.



Lorsque la carte est enrôlée, le DS renvoie ce type de message dont 2 champs vitaux : "url et "enrolled"

<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="yes"?><ThreeDSecure><Message id="_pFln8xvpXXXXXX"><VERes><version>1.0.2</version><CH><enrolled>Y</enrolled><acctID>AAUgFwQGEXXXXXXXXXX=</acctID></CH><url>https://aacsw.3ds.verifiedbyvisa.com/aacs/pahandler?vgtli=000520170406110328423XXXXXXXXX0;vgp=eNo1jtXXXXXXXXXXXX</url><protocol>ThreeDSecure</protocol></VERes></Message></ThreeDSecure>

Quand tout se passe bien, le champ enrolled est égal à Y et le champ url contient l'adresse de l'ACS.

Dans ce cas la plateforme de paiement  via son MPI propose au navigateur de l'acheteur une redirection vers le serveur d'authentification de l'émetteur de sa carte. On appelle cela un PAreq. 
Le porteur une fois redirigé, doit s'authentifier. La plateforme de paiement attend la réponse. Elle perd le contrôle total de l'authentification car c'est un tiers de confiance qui traite l'authentification. 

Que s'est il passé le 14 Juin?

Hier, suite à la suppression du nom de domaine de tous les FAIs de la terre pour non renouvellement du nom de domaine qu'ATOS utilise pour ses ACS, le DS de VISA a renvoyé pour toutes les CB françaises (hors CIC / CME qui ne travaille pas avec ATOS) le champ enrolled à N.
Hors ce n'est pas possible. Toutes les cartes CB sont enrôlées.
Pendant ce temps, le DS de Mastercard renvoyait un ATTEMPT. plus logique!! 

Conséquences:

Le protocole d'autorisation impose d'envoyer les champs correspondant au contexte 3DS de la transaction.
On a donc fait dans le pur respect du protocole, une demande d'autorisation en disant à l'émetteur:
  • je veux une autorisation de x euros pour ce marchand 3DS et pour cette carte non enrôlée.

Hors l'émetteur sait que cette carte est enrolée. Donc il est impossible qu'on lui demande une autorisation pour une carte non enrolée qui est obligatoirement enrôlée. 
Du coup refus en code 05 des autorisations de toutes les autorisations de porteurs de banques françaises hors CIC et CME. 

Ce n'est pas la première fois que la communication entre le DS et l'ACS d'ATOS est rompue (cas grave avant Noël en 2015 de mémoire pendant plus de 2 heures) mais c'est la première fois que cela dure aussi longtemps.

Dans tous les cas on peut légitimement se demander pourquoi VISA qui n'arrive pas à joindre l'ACS renvoie "Not enrolled" au lieu de dysfonctionnement.
Visa qui demande des certifications lourdes de MPI devrait commencer par revoir sa gestion des codes retours dans le dialogue DS / ACS. On aurait gagné du temps dans les diagnostics.

Vu de notre fenêtre, plus 60% des paiements ont été refusés. 
Les commerçants qui ont désactivé 3DS ont pris le risque de prendre de la fraude.
Tous les sites de paris en ligne où 3DS est obligatoire ont été fortement impactés.

3 domaines mais si un seul est défailllant, c'est la misère.

On peut donc se demander si les banques françaises ont raison de tout mettre chez un seul prestataire. 
Surtout que le DS gère un serveur primaire et un serveur secondaire. 
Mais quand le primaire et le secondaire sont identiques, cela fait mal.


En résumé:


  • VISA a un DS qui ne sait pas apparemment gérer le dysfonctionnement d'un ACS et renvoie une information erronée. C'était le cas en 2015 et cela n'a pas été modifié. Maintenant c'est leur spécification donc ils font ce qu'ils veulent.
  • Les banques françaises ont mis tous leurs œufs dans le même panier pour la gestion de l'authentification du porteur à l'exception du CIC/CME qui a sa propre solution. (et qui déraille moins souvent). Alors qu'on nous imposons des PRA et PCA de plus en plus complexes, il y a lieu de s'interroger sur la concentration de prestations critiques sur un seul acteur. 



Remboursement ou Annulation? Comprendre la différence

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Les marchands nous demandent souvent la différence entre l'annulation et le remboursement.
Certains acteurs du paiement parlent tout le temps de remboursement même quand il s'agit d'une annulation, mais c'est un terme incorrect.


En France le remboursement est toujours une opération sans interaction en temps réel avec la banque du marchand (lorsqu'il a un contrat avec une banque). Avec un établissement de paiement la règle peut être légèrement différente car ce dernier va vérifier que le marchand a suffisamment d'argent sur son compte avant d'accepter le remboursement.
Dans tous les cas, il devra accomplir une remise "off-line" de votre remboursement. Il ne fait jamais que dialoguer avec un acquéreur qui gère la compensation du remboursement.

Un remboursement se fait toujours sur une opération qui a été remise en banque. 

Pas forcément encore créditée en fonction des délais de paiement, mais toujours remise en banque. A l'étranger on parlera de remboursement possible sur une transaction qui faisait partie d'un lot parti en compensation.
On peut en théorie faire un remboursement dès que le lot est parti en compensation, mais cette règle valable sur les acquéreurs français ne l'est pas sur tous les acquéreurs (ni chez Paypal d'ailleurs). Le prestataire veut être sûr d'être crédité.

Autant de remboursements que l'on souhaite

On peut en France (mais cela dépend des acquéreurs en dehors de France) faire autant de remboursements que l'on veut à condition que le montant total ne dépasse le montant initial.
Certaines banques acceptent d'aller au-delà du montant initial pour rembourser les frais de retour du client (geste commercial), mais ce n'est pas la règle.
Chez d'autres, il n'est pas possible de rembourser si les montant sont trop petits. Nous vous conseillons en général de ne pas rembourser moins de 0,50€.

Un remboursement ne peut pas être effectué sur une  carte expirée. (règle GIE CB).
Dans ce cas, le marchand doit utiliser une autre méthode (virement, chèques, ..) mais la fonction remboursement ne sera pas ouverte sur une carte expirée. 

J'ai fait un remboursement et mon client n'a toujours pas reçu l'argent?

C'est un sujet complexe.
D'abord on ne peut être prédictif et savoir si le client a résilié sa carte et fermé son compte.
Dans le cas d'une carte expirée avant la date d'expiration faciale de la carte (l'acheteur peut toujours résilier sa carte avant la date d'échéance), l'argent n'arrive pas toujours à son destinataire si entre temps il a changé de banque.
Donc si votre acheteur ne plaint de ne pas avoir été remboursée, demandez-lui si sa carte est toujour s active. Car le remboursement va naviguer au gré des rejets entre votre banque et celle de votre client.

En général, les banques valident manuellement les remboursements car ce sont des opérations à risque. Donc il peut y avoir un délai si la banque prend du temps à valider certains remboursements.
Dans ce cas, vérifiez que votre compte a été débité et si ce n'est pas le cas, vous devez avec votre numéro de remise interroger votre banque. S'il a été débité, cela veut dire que le remboursement vogue entre les 2 banques😁
La plateforme de paiement est aveugle sur le traitement du remboursement. Il n'y a pas d'acquittement sur le crédit en compte. Seule votre banque est compétente pour traiter ce sujet.

A noter que suivant les banques la plateforme de paiement fait une remise pour les débits et une remise pour les crédits (remboursements).
Ce qui vous permet de mieux suivre les opérations sur votre compte en banque. Vous voyez facilement la remise débit et la remise crédit.
Malheureusement certaines banques ne veulent pas de remises séparées et veulent recevoir dans la même remise opérations débit et crédit. Vous aurez donc un crédit global en 1 ligne.
Et si vous avez une remise globale négative lorsque le montant des remboursements est supérieur au montant des débits cela peut prendre un plus de temps car le traitement n'est pas toujours automatique. certains acquéreurs n'aiment pas les remises négatives.

Et l'annulation dans tout ça?

Une annulation se fait toujours sur une opération qui n'a pas encore été remise en banque.
Ce n'est pas un remboursement. le terme remboursement est impropre.
Dans ce cas, le client ne devrait voir aucune opération sur son compte.

Toutefois ce n'est pas toujours le cas:
Certains acquéreurs débitent virtuellement immédiatement votre compte lors de la demande d'autorisation. (cas des cartes pré-payées par exemple mais pas seulement)

Hors à ce jour (mais cela va évoluer) l'annulation ne génère pas une annulation temps de l'autorisation pour restaurer le plafond carte du porteur. Celui-ci doit attendre l'expiration de la durée de l'autorisation pour retrouver son solde. ce qui suivant le type de carte peut prendre plusieurs jours.
Pour comprendre le sujet, pensez à ce qui se passe lorsque vous faites le plein de carburant:
Le distributeur de carburant vous indique le maximum de carburant que vous pouvez acheter. Il a fait une demande d'autorisation de x euros. A la fin de votre plein, il fait une demande de redressement à votre banque pour ne remettre en autorisation/paiement que le montant de carburant que vous avez réellement acheté. Sinon votre plafond carte exploserait rapidement.

Bientôt seront possibles 2 éléments importants en e-commerce:

  • la demande de renseignement qui évite de faire une autorisation de 1€ (et donc qui bloque un montant de 1€ sur votre compte) 
  • le redressement lors de l'annulation. la restauration du solde porteur si l'émetteur le gère sera alors automatique. 


Payzen vous proposera prochainement ces 2 nouvelles fonctionnalités introduites dans CB2A 5.5


Exemple de commentaires incorrects lus sur le WEB:
En France, dans le cas d’un remboursement ayant lieu le même jour que le paiement, il n’y a pas de débit ni de recrédit de cette somme. C’est une opération transparente qui n'apparaîtra pas sur le compte bancaire de votre client.

Ce n'est pas un remboursement. C'est une annulation, totalement offline à ce jour. 

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